Du 4 au 9 juillet: la région de Grande Terre
« Simplissime chez Hachette »
Sainte Anne et sa plage …
Comme les bords de mer sont publics… aucun hôtel (même le Club Med) ne peut empêcher l’accès à leur plage nettoyée des sargasses, ces algues qui puent …
Et nous voilà arrivé à notre bungalow…
Un peu plus de 8km de balade entre l’étang de La Grande Saline et
La Pointe des Châteaux à St Francois.
« Nich a zozyo la »
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Gwadinina
Rhumerie familiale (le papa et ses 2 enfants)
Ce nom vient de :
• Guadeloupe
et de
• Gwadi : petit nom du frère actuel responsable du domaine avec sa sœur
• Nina : nom de la sœur
Les 5 variétés de cannes à sucre (rouge, bleue, jaune, noire, verte) sont cultivées tout autour de l’établissement. Elles sont coupées à la main, donc sans les écraser, ce qui permet de les trier sur place. Actuellement, ce travail très pénible se fait, en général, mécaniquement avec ce genre de monstre…
Transportées en char à bœufs, les cannes sont brossées et nettoyées individuellement. Elles seront écrasées, mais ici, sans ajout d’eau.
Plutôt que de mettre des levures pour accélérer la fermentation du jus de canne (24 à 36h), le vesou est mis dans des cuves au soleil. Il faudra 6 à 9 jours pour le 5,5% vol. d’alcool.
A la suite de la distillation, il y aura la mise en bouteille ou en fût pour le vieillissement.
Mise en bouteille et étiquetage manuel …
Y a plus qu’à déguster…
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Rhumerie Damoiseau
En 1942, Robert Damoiseau rachète le domaine de Bellevue alors à l’abandon. Des bonbons et confitures, l’entreprise se met rapidement au rhum. Actuellement, 30 tonnes de cannes à sucre par heure en extraction fait de cette entreprise l’une des plus performantes des Antilles…
On est loin de la petite production familiale…
Fermentation accélérée à l’aide de levures.
Emblème de l’entreprise suite au vol d’une barrique quasi vide à une époque où tout se faisait à bras …
Petite balade à Port Louis
Ambiance très sympathique!
Un dernier repas au bord de la plage du Helleux …
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